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mercredi 16 mars 2011

Stupeur des tremblements

Mais surtout ne remettons pas en cause cette formidable production d'énergie...ce serait opportuniste!

Dans la belle & glorieuse famille des "Stan" KRAMER

Stanley "Earl" Kramer
Prod. & réal. américain
né le 29 sept.1919 à N.-Y. décédé le 19 fév. 2001 à L.A.
C'est en tant que producteur, que Stanley kramer s'affirme à ses débuts. On lui doit Champion en 1949, de Mark Robson, avec Kirk Douglas ( un drame sur la boxe), C'étaient des hommes de Fred Zinneman en 1950 (drame sur les anciens soldats paraplégiques, et qui met en scène Marlon Brando dans son premier film), et un western, numéro du box office mondial en 1952, sur la traîtrise et la lacheté (propos très contreversé via la chasse aux communistes du sénateur McCarthy)intitulé Le train sifflera trois fois. N'oublions pas également ces autres productions, comme, L'équipée sauvage, le premier film pour motards, et le film culte et ô combien bizarre Les cinq mille doigts du DrT.
Il passe à la mise en scène en 1955 avec un drame dans le milieu médical Pour que vivent les hommes. Suivront des films aussi différents, mais toujours aussi plébiscités par le public, que Orgueil et passion(1957) drame se passant en 1810 en Espagne, La chaine(en 1958, un film anti-raciste), et Jugement à Nuremberg(1961), récompensé par le public et la critique.Stanley kramer produira également le premier film de John Cassevetes, Un enfant attend, avec Burt Lancaster et Judy Garland.Il est aussi l'auteur de deux comédies mondialement reconnues Un monde fou, fou, fou(1963), et Devine qui vient diner(1967), toutes deux avec Spencer Tracy.
Disparu il y a une décennie, je me suis souvenu de lui en passant récemment par Deauville...le ciné ricain y est décidément profondément ancré!

mardi 15 mars 2011

Histoire du soldat

Vendredi 11 mars, Théâtre de la Foudre, nous avons donné, je crois, le meilleur de nous même pour porter cette oeuvre de Messieurs Ramuz & Strawinsky sur le plateau de la scène nationale de Petit-Quevilly. L'ensemble Octoplus a assuré rondement la partition "vitaminée" du compositeur slave...qu'ils soient cités en hommage à leur virtuosité. Au violon: Annabelle Levillain, à la contrebasse: Bernard Cochin, à la clarinette: Sylvain Decavel, au basson: Audrey Luzignant, au cornet à piston: Pierre Grimopont, au trombonne: Joël Lainé & aux percussions: Renan Quelen.
Pour interpréter les 4 personnages, le metteur en scène François Accard, choisi judicieusement le musicien-comédien Sylvain Baudry & la chorégraphe-danseuse Solenne Vander Eecken. Les costumes, accessoires & lumières de Nelly Cornier, Anne Legagneur & moi-même (Stan pour ceux qui l'ignoreraient encore...) reçurent le renfort "in-situ" de Paul Agratina & Hervé Pujervie. Je posterais dès que possible des photos valables car les miennes prises à 25 m sont bien décevantes...ci-dessous dans l'attente, une de "répèt musicale" et en bonus celle prise à l'issue du spectacle, depuis le toit du théâtre où une odeur de fumée nous dirigea avec Paul & Hervé...une maison voisine vivait ses dernières heures de façon "infernale"...fort à propos!